Dans un article intitulé A Casablanca, l’appel d’air des cursus français, le journal français Le Monde présente l’installation des Grandes Ecoles françaises au Maroc : l’EIGSI Casablanca, INSA Fès, Centrale Casablanca, l’EM Lyon, l’ESSEC, Dauphine. Interviewé, M. Ben El Mostapha, directeur de l’EIGSI Casablanca, y décrit les forts besoins du marché marocain en ingénieurs et les avantages d’une formation identique à celle donnée en France.
Besoin de 15.000 ingénieurs par an
8.000 formés
Dans l’article, M. Ben El Mostapha s’attarde sur le contexte économique marocain. Le plan Emergence vise à former 15.000 ingénieurs par an. Comme le rappelle M. Ben El Mostapha « les écoles publiques et privées en forment 8.000 par an ».
La carence de l’économie marocaine en ingénieurs est flagrante. Comme en France, le diplôme d’ingénieur permet aux jeunes marocains mais aussi aux étudiants africains de trouver rapidement un emploi de qualité et répondant à leurs ambitions dans le royaume mais aussi en Afrique, en France, voire partout dans le monde.
L’installation des Grandes Ecoles françaises au Maroc ouvre de nombreuses possibilités aux étudiants marocains et africains. Les cursus déployés au Maroc sont exactement les mêmes qu’en France comme le rappelle M. Ben El Mostapha : « Les écoles françaises qui s’installent au Maroc viennent avec les mêmes contenus, les mêmes programmes qu’en France… L’accréditation de la commission des titres d’ingénieur valide la formation que nous délivrons sur le sol marocain ».
En effet, la Formation d’ingénieurs généralistes EIGSI délivrée sur le campus de Casablanca est exactement la même que celle suivie par ses étudiants à La Rochelle. A ce titre, l’EIGSI est devenue la première école française d’ingénieurs accréditée la Commission des Titres d’Ingénieur à délivrer son diplôme français d’ingénieur à l’international.